Malgré l’absence de grand chef Dominique, il y avait du monde à la sortie du lundi. La chaleur a dû être accablante c’est pour pour cette raison que dorénavant les sorties se feront le matin à 8h30. Comme vous avez pu le voir dans le commentaire de Joelle nous étions sur le 600 ce samedi et il faut bien que l’on se repose un peu, d’où notre absence ce lundi. J’ai commencé mon premier BRM 600 en 2003, et il est fort possible que 20 ans après ce soir mon dernier 600, il faut savoir s’arrêter à temps.
Durant cette campagne de BRM 2023, j’ai rencontré deux phénomènes qui sont licenciés à la Squadra depuis cette année.
Yves Palandre qui a bouclé le BRM de Roanne en 24h15 après s’être perdu et parcouru 60 km de plus.
Il n’a pas pu faire celui de Feurs car il travaillait.
Serge Brunel, un autre phénomène.
Il a roulé tout à l’économie durant ce 600 km, alors que souvent moi, j’étais plein gaz.
Depuis Saint-Germain-Laval Christophe, n’allait pas bien et il ne pouvait plus avancer. Serge l’a littéralement propulsé du pont de l’autoroute à Pommiers jusqu’à Feurs. JJ m’a même avoué qu’il avait fallu s’accrocher pour suivre le train imposé, je confirme. Comme Serge, j’avais choisi de boire une bière brune pour le repas du samedi au chalet du Montal, mais cette bière n’a pas été aussi efficace pour moi.
Serge peut viser un temps sur ce Paris-Brest il en a les moyens.
Raymond Salomon, le squadriste qui a roulé en solo, et qui pensait arriver que vers 22h est arrivé beaucoup plus tôt, un grand bravo à lui. C’est là qu’on s’aperçoit que sur un Paris-Brest il ne faut pas forcément rouler vite à certains moments et s’arrêter mais il faut rouler régulièrement. Alain BERRUX en est la preuve. Il est arrivé seulement une demi heure après nous en roulant à solo.
L'esprit d'équipe
