Mi-figue mi-raisin, c’est un peu le sentiment qui m’habite aujourd’hui après ce BRM 400…
Même si pour ma part ce BRM c’est bien déroulé, la température était idéale, bonne gestion de l’alimentation, pas de coup de barre, pas de passage à vide comme j’ai pu avoir par le passé, physiquement RAS, les jambes étaient là. Et ce matin malgré une courte nuit, je suis plutôt en forme sans vraiment de courbatures… 👌
Mais au final, je suis assez déçu, des 20 derniers kilomètres notamment ☹ (St Germain Laval / Feurs). Avec Joëlle on n’a pas pu accrocher les roues du groupe dans la descente de Saint Germain Laval, on s’est donc trouvé largué au milieu de la campagne forézienne. Un groupe avec qui on avait parcouru 392 km, ce n’est pas très sympa. Nous n’étions pas perdus, on connaît la route mais bon, dans la nuit le moindre problème technique peut vite devenir une galère… Je trouve dommage que l’on ne termine pas ensemble. Le vieil adage, « on part ensemble, on rentre ensemble » a du se perdre !
Là où je suis d’autant plus déçu, c’est que nous avons eu beaucoup de bienveillance pour certains membres de ce groupe, que ce soit lors des précédents BRM ou dans la montée de la Loge des Gardes : « ralenti X a un passage à vide » ; « il manque Y il pose sa veste de pluie on l’attend »…
Le côté positif de cette mésaventure est que nous avons ramené un participant, dont c’était le premier BRM 400, qui commençait à avoir une baisse de régime et des crampes, il nous a vivement remercié à l’arrivée. 😉
De fait, je ne sais pas aujourd’hui si je donnerai une suite à ce BRM…
Pour terminer mes propos, je tiens à remercier vivement les organisateurs de ces BRM (Daniel, Joëlle et Gilles) ainsi que les personnes présentes au départ et à l’arrivée avec la bonne soupe !
Nicolas